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04.04.16

Article de Capital sur la Cipav : une vision partiale et erronée

Dans son édition datée de mars, le magazine Capital a fait paraître un article consacré à la Cipav. Le mensuel a choisi de s’appuyer sur des faits anciens et d’offrir une tribune à quelques détracteurs de la caisse, plutôt que de rendre compte des nombreuses améliorations mises en œuvre depuis 2015 et présentées par Olivier Selmati, le directeur de la Cipav, lors de son entretien avec le journaliste du magazine.

Pour rappel, au terme d’une année de réorganisation profonde visant à une rénovation totale de la relation de service avec ses adhérents, la Cipav a notamment réussi à :

  • résorber le stock structurel que connaissait le service courrier depuis des années ;
  • réduire de trois mois à trois jours les délais d’encaissement des chèques grâce à un partenariat avec la CCMSA (Caisse centrale de la mutualité sociale agricole) ;
  • améliorer la réponse téléphonique grâce à une externalisation partielle de l’activité téléphonique destinée à atteindre un taux de décroché de 90 %, ce qui permettra ensuite de dégager des ressources pour répondre aux mails des adhérents ou pour prendre contact avec eux afin de leur apporter du conseil ;
  • créer des points d’accueil en régions afin d’informer et de traiter les dossiers des adhérents résidant en dehors de l’Île-de-France ;
  • mettre à disposition sur le site internet de nouveaux documents et services permettant le traitement dématérialisé de certaines démarches ;
  • informer de manière spécifique les micro-entrepreneurs (brochure dédiée) et leur permettre de consulter leurs droits acquis pour la retraite depuis 2009 sur le site internet ;
  • déployer un plan de radiation d’office concernant les adhérents n’ayant pas déclaré leurs revenus depuis plus de deux ans ;
  • développer une politique d’action sociale destinée notamment à prendre en charge les cotisations des adhérents confrontés à des difficultés passagères ou en situation de précarité ;
  • définir un nouveau schéma directeur informatique qui doit permettre la refonte du système d’information, nécessaire, entre autres, à la fiabilisation des données gérées par la caisse.

Toutes ces actions ont un seul et unique objectif : restaurer la qualité de service à laquelle les adhérents de la Cipav sont en droit d’attendre.

Malgré les nombreuses lacunes de l’article de Capital, La Cipav n’a pas souhaité demander de droit de réponse au magazine. Toutefois, un courrier a été adressé à son rédacteur en chef. Vous pouvez télécharger celui-ci en cliquant sur le bouton ci-dessous :